Une partie de ma panoplie de RP

http://soulhunters.anciennestar.com/rp-et-textes-f9/

Messages : 1977 Date d'inscription : 05/12/2007

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????, je comprend pas

Messages : 1977 Date d'inscription : 05/12/2007

il demande de ce loguer et ca marche pas ^^

Messages : 451 Date d'inscription : 07/05/2009 Age : 36

j'irais voir sa moi

GALACTUS a écrit:: il demande de ce loguer et ca marche pas ^^

je t'ai tout donné en MP, Galac

Messages : 1977 Date d'inscription : 05/12/2007

bah oui mais ca marche pas Sad

flute, je t'ai mis les bons en mp, excuse moi

Messages : 1977 Date d'inscription : 05/12/2007

kool

http://soulhunters.anciennestar.com/rp-et-textes-f9/rp-chez-les-ordre-t37.htm

je suis content de le relire sans fin I love you

Une journée de Martienne

Quand tout cela a-t’il commencé précisément ?
Quand est-ce que cette histoire a débuté, et avec elle tout
ce qui fait que je resterais à jamais coincée sans doute sur cette planète.
Quand, comment et pourquoi, voilà les questions que je me pose en ce jour, un
jour comme les autres, il n'y a rien de spécial aujourd'hui, je suis ici
depuis... !!!

Depuis combien de temps au fond, je ne sais plus, je ne
compte plus réellement les jours, à quoi cela me servirait-il...?
Et après tout, est-ce seulement réel que tout cela, je me le demande, la
question me hante, mes nuits y passent, et je hais cela, je hais cette planète
qui m'a éloignée de ma famille, de mes amis, amies, de cette mer si belle qui
baignait les galets de la plage en contrebas des falaises bordant la maison...
La maison...
Où habitais-je... ?

Le rêve ne serait-il pas plutôt ces souvenirs qui me hantent et me dépriment,
me font cauchemarder et perdre foi, pleurer, parfois aussi.

Les Grands Martiens me guident, l’alliance m'aide comme je l'aide, et puis,
après tout, il y a Galac, aussi...
Mais...
Depuis combien de temps suis-je ici...?
Après tout, la réalité serait peut être tout simplement que je suis née et ai
toujours vécu sur cette planète, les Bunkers, les vallées rouges...
L’enfer du froid...?
Raaaaaah...

Rapidement, je me redresse de ma couchette, non, non, non, cette nuit ne sera
pas une de celles ou je dormirais sans problème aucun, où la voie du sommeil et
des rêves me sera montré par les Grands Martiens, non, cette nuit sera une de
ces nuits pourries que je passerais comme bien souvent, de plus en plus souvent
malheureusement, à miner pour essayer d'oublier à jamais toutes ces pensées
noires qui me hantent.
Marchant dans mon bunker vide, les lumières en cycle de nuit, je m'en fiche
bien au fond, je sais parfaitement où sont placés jusque à chaque objet, je
peux marcher les yeux fermés, et je me dirige vers la salle de bain, une douche
me fera le plus grand bien, et après... ?
Après... J'irais sans doute miner, comme bien souvent.
Encore, et toujours, miner, construire et vendre.
Voilà la vie d'une humble Martienne de cette planète... La mienne et celle de
millier d'autres gens qui comme moi ne savent plus jusque à ce qui ils sont.

Arrivée dans la salle de bain, mon pyjama composé d'un simple tanga et d'un
tee-shirt trop grand... D'ailleurs je me demande bien à qui peut être ce
tee-shirt et comment il a fini là, l’alliance Martienne m'étonnera toujours, je
sais que j'adore dormir dans ce genre de choses, mais... Qu’est ce que ça fiche
dans mon bunker... ?

Raaaah, on s'en fout... Bref, ces vêtements envolés dans un coin de la pièce,
et moi calée sous la douche, j'active l'eau chaude et la laisse couler un
instant sur ma peau, trempant mes cheveux, et nettoyant mon corps de la sueur
d'une nuit agitée... Et pourtant, ces pensées ne me quittent pas, toujours pas,
encore pas...
Qui suis-je, pourquoi suis-je ici, et depuis quand... ?
Depuis quand... ?

Saisissant un gant de toilette et le savon liquide, je commence doucement à me
nettoyer, profitant de la chaleur de cette eau qui me berce et me redonne envie
de travailler... Ou de dormir, je ne sais trop, de toute façon, vu mon matériel
de transport, je peux dormir, suffit que je le mettes en route, que je regarde
mon petit planificateur de rentrée, et c'est parti, l'avantage des GT, c'est
que ces petits machins, ils se pilotent tout seul, ou presque quand ils le veulent
bien.

Aalia Grande Prêtresse des Martiens

Beau temps annonce la radio pfff... Peut-on seulement
appeler beau temps ces températures de moins quarante, ces vents de minimum
cinq à dix kilomètres par heure, ces nuages de poussières, ces radiations de
tout côtés, sans compter les coups de lasers à éviter, j'en passe et souvent
pas des meilleures...
Le beau temps... Le beau temps c'était ce temps quand j'étais sur Soulhunter,
ce soleil qui resplendissait en se reflétant dans la mer, ce soleil qui était
la dernière chose que l'on voyait lorsque nous sautions mon frère et moi du
haut du promontoire qui surplombait la mer, mer profonde à cet endroit de
quelques trente-cinq mètres.
Nous sautions, nous redressions durant la chute, et pénétrions la mer à une
vitesse dingue...
C'est ainsi, ce jour ensoleillé...
…
Non...

« Non... Non... NON... »

C’est ce jour ensoleillé qu'il s'est tué... Il a sauté du promontoire, mais je
n'étais pas là, et il s'est mal redressé, la chute de quinze mètres a été
rapide, et il a percuté l'eau avec la violence d'un véhicule lancé à cent-vingt
kilomètres heure...
Sa nuque a craqué, son cou a pris un angle bizarre... il n'est jamais remonté,
on ne l'a jamais revu.
Son corps a été repêche une semaine plus tard, à une centaine de mètres, par un bateau de pêche.

Je me rappelle encore la couleur de son corps, ce sourire qui ornait son visage déjà endommagé par l'eau...
Un sourire qui semblait dire « C'est la dernière fois... Dommage, c'était drôle.»

Mon frère... Lui qui rêvait tant de venir sur Mars... Il avait rempli son
contrat, il allait partir.
Et jamais il n'aura quitté notre propriété familiale, le sort en aura décidé
autrement.
Non... Non...
Pourquoi lui...

« POURQUOI BON DIEU, POURQUOI, Ô GRANDS MARTIENS, POURQUOI MON FRÈRE ? »

Et seul le silence du bunker me répond, comme bien souvent lors de ces
tristes nuits où remontent mes souvenirs...
Ces nuits que je déteste.
J'ai coupé l'eau de la douche, les larmes coulent sur mes joues, mouillant mes
yeux sans pupilles visibles, mélange de couleur improbable, se mêlant à l'eau
purifiée utilisée pour se nettoyer...
Je sors de sous la douche, saisis une serviette au passage, et m'essuie en
douceur...
Je pleure, mais un rapide coup de serviette sur mon visage éparpille la
douleur, efface les pleurs, plus rien n'existe que cette terre rouge, dehors !!!.

Le bruit de ma respiration est la seule chose que j'entends dans les couloirs
qui me ramènent à ma chambre, tee-shirt sous le bras, tanga sur le bas, j'ouvre ce qui me sert et tient lieu ici de commode, et enfile ma combinaison de survie, attachant mes cheveux en une sorte de queue de cheval haute, ce truc qui colle à la peau comme ce n'est pas permis, nous permettant d'être à peu près bien installée dans nos carcans de métal que sont nos scaphandre, en dessous, un simple tee-shirt à ma taille, mon tanga, et accroché au niveau de l'élastique de celui-ci, un petit appareil dont le nom m'échappe, lecteur de
musique, chargé avec ce que mon frère m’a laissée.

Les écouteurs sur mes oreilles, casque bien placé, je me dirige vers la
cuisine, y prenant rapidement un repas et une canette de coffee, je l'aime
serré au petit matin, je finis par me diriger vers le sas de sortie, et y passe
mon scaphandre, vérifié et réparé, j'en ai pour sept heure de sortie à ce que
me dit l’indicateur... Ça me va bien, ça m'occupera.
La batterie de mon lecteur peut en faire le double.

Et mettant le pied dehors, je repars pour miner, encore et toujours, suivant le rêve de mon frère, ce contrat qu'il avait rempli, c'est moi qui l’aie récupéré
après son enterrement... Je me suis faite passée pour lui, et je suis partie à
sa place, vivre et m'installer sur Mars

Il s'appelait Zulien...
Et me voila, moi... Aalia, Virginia , Mlle Smith et d’autres...
Mon doigt appuie sans se retenir sur le bouton, le hurlement du chasseur se
mettant en marche me réveille, la journée ne fait que commencer, oh !!!...
oui, que commencer...
Il faut miner, s’accrocher au classement, accomplir le rêve de ton frère...

Mais pourquoi... ?
Et comment... ?
Depuis quand...?
Je sens que jamais je ne répondrais à ces trois questions, me hantant terriblement, chaque nuit de plus en plus courte.

Après tout... Est-ce si important...?
Je suis ici... Autant en profiter, et ne pas chercher plus loin...

« Zulien... Tu auras tant aimé cela... »

La musique me remplit les oreilles, je surveille distraitement mon chasseur, et
finit par me perdre dans ma contemplation.
Plus rien ne compte.
Plus rien.
Rien...
…
..
.

« Rien... »

Aalia Grande prêtresse des Martiens

Messages : 1977 Date d'inscription : 05/12/2007

joli texte ma belle Smile

Messages : 140 Date d'inscription : 18/08/2009

Oui, très beau texte avec une belle écriture et beaucoup d'émotion.
J'aime, je le dis et ça fait un petit up afin que les béotiens qui ne l'auraient pas encore lu le fassent !

Il y aura interro lundi, qu'on se le dise !!!

Messages : 764 Date d'inscription : 07/05/2009 Age : 54 Localisation : 77

Merci pour le up...j'étais passé à côté.

Ô mes pauvres amis, si la vie est courte et la mort éternelle, réveillons-nous et allons hop ! Allons faire des choses folles et héroïques.

Manuel da Fonseca

On peut commmencer par boire un petit rosé-menthe bien frais...on est alors quelque part entre la folie et l'héroïsme...non? Une partie de ma panoplie de RP Alien

Zules a écrit:: Biiiiiing !
"Aïeuuuuuuh ! Me suis cogné dans quelque chose !
Brrrrr... c'est tout froid, on dirait un iceberg !"
Ce n'était qu'un glaçon, mais pour Zules le têtard il paraissait énorme.

Bonjour, Monsieur le glaçon, ze suis Zules, le têtard flasque et gluant.
Ze viens du marais de Zuaalia.
Ne cherchez pas, c'est dans le futur.
Mais c'est là qu'Aalia m'a trouvé, dans un fond vaseux, sous un nénuphar radioactif.
Elle m'a dit: "Veux-tu parcourir le monde avec moi ?" Comment refuser ? Comment ne pas céder devant le sourire carnassier de la belle amazone ?
Et voilà que je me retrouve à remonter le temps des univers avec elle... 63, 53, 45...
Jonchant le sol de mes algues urticantes,
Pillant les troncs des églises,
Semant le désordre sur les places publiques...
Et me voici parvenu chez vous, les glaçons, pour vous vaporiser, vous sublimer, vous...

- Zuuuuuuuuules !
- Aalia ! c'est toi ?
- Non, c'est pas toi, c'est moi ! Dis-donc, crâne de piaf qu'es-tu en train de raconter ?
- Euuuuhhhh... C'est toi qui m'a dit de venir ici. Et c'est toi qui m'a dit que ce sont de vrais durs, des michants de chez michants et qu'il ne fallait pas avoir l'air d'avoir peur d'eux !
- Pfff... je me demande s'il te reste encore un soupçon de neurone ! Je t'ai demandé de venir leur dire bonjour, afin qu'ils voient quel fardeau je traîne et, comme tu es tout petit, je t'ai dit d'essayer de les faire fondre, ces glaçons. Pas de les menacer de les vaporiser
- Ah ? c'est po pareil ?
- Nan, c'est po pareil ! il y a la même différence qu'entre mon tanga et la culotte de mon arrière grand-mère !
- ze suis dans le caca, alors ?
- oui !
- Aalia ?
- ....
- Dis, Aalia ? tu peux m'aider ?
- T'es indécrottable, toi ! j'avais dû abuser du pamplemousse rose, le jour où je t'ai ramassé. Et arrête de baver, ajouta-t'elle en lui tendant une feuille de sopalin. Je passe mon temps à rattraper tes boulettes!
- Je le referai plus...
- Allez, essuie-toi et va dire bonjour au monsieur. Et n'aie pas peur, il est encore plus moche que toi !
Et profites-en pour leur dire merci pour le jour où je les ai appelés à l'aide pour toi.
Je sais bien qu'ils ne peuvent rien me refuser à moi, Aalia la magnifique ! mais en plus ça faisait chier qu'un enchanteur borné vienne casser les jolis sats que j'avais passés au mirror.

Aalia a écrit:: Le Marais avait fait place aux ombres malfaisantes des icebergs
Enfin le silence profond régnait sur cette nature blanche
Seul, un petit chant de Grenu’yes à pattes jaunes faisait entendre son croassement.
Sur le sommet d’un précipice affreux, je vois apparaître une forme angélique
Un ton plaintif « Aïeuuuuuuh ! », sous un accent de Zzzzzzaalia., me blessant l’oreille frontale.

-ZZZuuuuuuuuuuuuulllllles, comme tu es beau. Mais qu’est que tu fais ici.
-Ben quoi, tu vois bien, je me mire dans ce beau glaçon, sur le cristal de ses ondes.
Tu vois Aalia, nan, je n’ai pas changé
Je suis toujours ce têtard étranger
Qui te chante des romances
Qui t’invente des dimanches
Te faisant voyager
Naaaaaaaaannnnnnnnn, je n’ai pas changé
Je suis toujours ce têtard baveux un peu fou

-O !!! Mon Rouuu, euuuhh JJJJJulioZules, je t’aime.
-Alors ici, parmi le froid, le givre et la neige, comment sont les glaçons.
-Froid !!!...Carrés, Blasés, le sourire Joker, frimeurs. Surtout le tableau Lolo, le grand gourou hihihi
-Merde !!! merde !!!meeerrrrdde, je glisse
-Attention à la marche ZZZuules
-Aie, aie, me voici au bout du monde, tout au dessus des Noman’s lands, de ce désert de folie.
Bon, vous venez les ICE
« On joue au bowling RUMMMMMMM …BLOK »
-Quelle maison de dingues, oh !, mais vous verrez ! un jour je partirai
-Attend, attend, j’arrive, juste le temps d’enfiler mon nu pièce
-Voilà, j’ai froid maintenant, Aaaaaliaaa

Aalia a écrit:: Crépuscule dans le bac à Glaçons

Le crépuscule est doux comme l’azur de tes sourires
Dans l’ombre bleuie du cristal lentement on dirait
Qu’on entend un refrain d’amour et de délire
D’un flocon qui chante au plus profond de la craie

Ce doux murmure léger, c’est la voix des cristaux
De ces rêveurs, martyrs, morts pour un idéal trop beau
Fondus avant de connaître une âme qui les aime
Un sorbet, un jus où leur chanson aurait pu épancher sa peine

Toi Zules, tu sais écouter mon cœur cryogène
Tu comprends qu’Aalia sera une enfant toujours
Tu marches dans mes joies et tu pleures de mes peines
Et tu me fais givrer en me berçant d’humour

Viens au jardin des neiges ou plane l’ombre des icebergs
Là, nous pourrons rêver sous l’igloo seul à seul
Tandis que dans la nuit glaciale, rêveuse et solitaire
Les glaçons pleureront dans leurs linceuls

Et comprend maintenant le bonheur que je goute
Lorsque ton humble chant de Grenu’ye, monte pour me charmer
Ce n’est pas seulement « les ICE » qui l’écoutent
Ce sont ceux qui daignent l’entendre, et t’aimer

Galac tu te souviens hihihi

Une partie de ma panoplie de RP 12143510

Nous les Zombies de Umbras Mortalis.

Je trouve qu’il est plaisant d’être Zombie !!!
Vous voyez venir à vous des corps emplis d’immondices
Frôler votre corps décharné avec une pointe de lascivité
Afin de leur transmettre vos pensées éphémères

Mouaaahh

Eh, oui, ici bas tout meurt si vite
Tous seront décrépits après tant d’infortunes
C’est agaçant, hein !!! De ce se sentir faible
La vie, cette flaque d’eau fangeuse, ou l’on choit

Pour nous Zombies, le jour le plus jouissif
C’est resté voir les autres agoniser, leur peau bleuir
Leurs os ressortir sous des veines éclatées
Les aider à ouvrir leurs plaies, les mains battant dans le vide

Mouaaah

Une partie de ma panoplie de RP Contes10

Oui, les vivants, pourquoi résister
Quel intérêt à vous débattre de votre destin
Après tout, condamné pour condamné
Permettez que l’on vous déchiquète les chairs

Ne savez-vous pas, que le plaisir nait dans la souffrance
L’achèvement, est la mort, un plaisir qui ne resurgira plus
Vous riez d’avoir fait souffrir, plus que d’avoir souffert
Le bourreau, vous fait payer le couperet d’autres, encore et encore.

Mouaaaah

Nous haïssons les faibles, les sages exaspérants
Par leur soit disant conscience spirituelle
Par leur orgueil décadent, par leur moralité pornographique
Nous haïssons les égoïstes narcissiques, face à leur carcasse putréfiantes

Vous infester notre air par votre présence excrémentielle et infecte
Vous insupporter par votre seule présence par votre aspect larvé
Vous punir, vous frapper, vous faire croupir dans votre sang haïssable
Afin de nous consoler d’avoir côtoyé un pauvre hère ne pouvant supporter la vie

Mouaaah

Une partie de ma panoplie de RP Img_en10

O ! Oui que la vue de vous-même, de votre faiblesse, est haïssable
Elle n’est que porteuse de maux et défigurant, je sais c’est dur
La bouche ouverte vomissant des tonnes de pus à l’odeur de concupiscence
A chaque fois que vous philosopher sur votre moralité

Oui, nous Zombies nous prônons, l’abjecte, l’âme impure
Car nous n’avons rien à perdre ni à gagner
Plus rien à protéger, car la pureté, la virginité, vous les humains
Vous les avez perdus à travers vos crimes et vos injustices

Mouaaah

Que vos chairs tombent au sol en fientes ensanglantées
Que sous nos mains et nos yeux libérateurs, vos péchés soient pardonnés
Que les sous estimés d’eux-mêmes, soient démembrés
Leur cœur transpercé pour laver leur vie ordurière

Repentez-vous, que les remords fassent tomber vos muscles
Pullulants et rongés de vers grouillants, vous arrachant des cris de douleur
Oui, c’est horrible, mais c’est la vérité, c’est ici, chez les Zombies
Que vous comprendrez, la justesse, l’absolu et la lucidité foudroyante

De votre non-être !!!

Mouaaah

Une partie de ma panoplie de RP 20437110

ps: Je vais arrêter la fumette , lol

Messages : 1977 Date d'inscription : 05/12/2007

Messages : 721 Date d'inscription : 07/05/2009 Localisation : Area 51

Messages : 44 Date d'inscription : 17/05/2009 Age : 37

J avais deja vu 2 ou 3 de tes rps mais je ne savais pas que tu en faisais une habitude !

C est pas mal du tt, mm si ca m arrache la bouche de le dire xD

Bisous aalia :p

Bonjour Sirenza,

En ballade ?
Merci du compliment. Tu ne veux pas un bain de bouche et un p'tit verre de pamplemousse rose, pour faire passer la douleur de l'arrachage de bouche.

Messages : 44 Date d'inscription : 17/05/2009 Age : 37

Ouais je flood a droite et a gauche un peu partout et un peu nulle part ...

Non ne t inquiete pas ca va aller ... un jour je vais m habituer a te faire des compliments, mais bon pas tout de suite hein xD

Merci pr le pamplemousse rose, mais j ai cru comprendre que c etait nefaste chez vous xD
Pas envie de me retrouver la tete a l envers xD

Messages : 721 Date d'inscription : 07/05/2009 Localisation : Area 51

Non tu risque juste d'avoir une tronche comme la mienne après Une partie de ma panoplie de RP Alien

Messages : 264 Date d'inscription : 10/05/2009

faites vous un bisous les filles et amuses vous ^^

ce n'est qu'un jeu

Messages : 44 Date d'inscription : 17/05/2009 Age : 37

Oh on s aime ... on se le dit pas c est tout xD

Messages : 764 Date d'inscription : 07/05/2009 Age : 54 Localisation : 77

Citation :: Merci pr le pamplemousse rose, mais j ai cru comprendre que c etait nefaste chez vous xD
Pas envie de me retrouver la tete a l envers xD

Je te remercie!! Enfin quelqu'un qui comprend tout de suite qu'il ne faut pas boire n'importe quelle cochonnerie!!

Merci et encore merci!! Je t'aime!! Mon prochain enfant portera ton nom!!

Nous avons un poste de grande prêtresse qui peut se libérer d'un jour à l'autre, alors n'hésite pas à postuler.

Vive toi!! Une partie de ma panoplie de RP 352760

Grouchy a écrit:

Citation :: Merci pr le pamplemousse rose, mais j ai cru comprendre que c etait nefaste chez vous xD
Pas envie de me retrouver la tete a l envers xD

Je te remercie!! Enfin quelqu'un qui comprend tout de suite qu'il ne faut pas boire n'importe quelle cochonnerie!!

Merci et encore merci!! Je t'aime!! Mon prochain enfant portera ton nom!!

Nous avons un poste de grande prêtresse qui peut se libérer d'un jour à l'autre, alors n'hésite pas à postuler.

Vive toi!! Une partie de ma panoplie de RP 352760

Si je suis de trop je peux partir chez les Papis, hein !!!!!! Que les foudres des Grands Martiens s'abattent sur ta tête de crane d'oeuf.

Messages : 721 Date d'inscription : 07/05/2009 Localisation : Area 51

Si tu vas chez eux, tu n'auras plus à faire qu'à un pervers mais à toute une alliance Une partie de ma panoplie de RP Icon_lol

Messages : 1977 Date d'inscription : 05/12/2007

Aalia a écrit:: ... sur ta tête de crane d'oeuf.

c'est tellement vrai Une partie de ma panoplie de RP Lol

les délires de Zules c'est à cet endroit.

http://the-atomic-girls.forumpro.fr/index.htm

* Assisse en tailleur, le sas verrouillé avec une l’atmosphère confinée saturée d’épaisses fumées d’Opium , Aalia, vêtue d’un simple tanga portant la marque d’une antique déesse grecque, méditait, impassible…

Son esprit, tendu vers les mystères des Grands-Martiens, s’efforçait de parvenir à quelques étincelles de sagesse qui lui auraient permise d’accéder à une compréhension supérieure et ainsi accroître ses propres pouvoirs pour le plus grand profit de la cause Martienne…

C’est alors que la Grande prêtresse eut une vision…

Elle se vit sur Terre, son ancienne vie, dans un bar écoutant de la musique, à demi-ivre mais terriblement lucide. Puis, les Ténèbres, des machines, du sang et des cris…Beaucoup de sang et de cris…et la musique… le Temple vibrait, le métal chantait, et le Pourpre, le Pourpre…

Ouvrant les yeux, elle murmura… *

“ ...Bleed for us all...”

* C’était ça le message, la clé ! Puisant dans ses souvenirs, les Grands Martiens lui avaient édicté leurs volontés. Bien sur, l’Eau Précieuse avait toujours été l’une des offrandes les plus appréciées, mais était-elle suffisante ? Le sang seul ne suffisait pas, elle avait vu les machines, leurs rouages déchirants les chairs, les lames tournoyantes, les flammes. Elle avait senti l’odeur d’ozone du sang qui crépitait sur les plaques incandescentes, le parfum de la terreur. Son être avait entendu les hurlements, les plaintes lugubres qui lui rappelaient les vents soufflants sur Mars. Non, le sang ne suffisait pas, la douleur, la souffrance nourrissait les Grands Martiens tout autant que le précieux fluide vital…

Et comme pour confirmer ses déductions, les enceintes oxydées du Temple se mirent soudain à grésiller, libérant un nouveau chant qu’elle reconnut aussitôt. *

“ ...Bind Torture Kill...”

* Elle tenait sa Révélation, sa Vérité…
Et pour remercier les Grands Martiens, elle allait offrir sa douleur et son sang sur leur autel…

Le Métal comprenait…
Dehors, le ciel se couvrait et des flammes intangibles se mirent à danser sur le dôme…

Saisissant son couteau sacrificiel, la Grande prêtresse se rasa le crâne, couvrant le sol de cheveux, arrachant les mèches qui résistaient, puis, tenant des deux mains la lame, elle traça une ligne fendant son front en deux, symbole de l’ouverture d’esprit dont elle venait d’être gratifiée. Le sang ruisselant lui brouillait la vue, entrait dans ses narines à chaque inspiration, emplissait sa bouche d’un goût ferreux.*

“ ...La Fusion... Le métal c’est la fusion, injectez-vous du fer chaque treizaine…Le sang, c’est du fer liquide...”

* Son esprit subjugué par une nouvelle perception, Aalia se leva soudain et ouvrit sa servante pour en sortir divers objets. Haletante, elle psalmodiait les lois, leur découvrant un sens qu’elle ignorait jusqu’à présent… *

“ ...Le sang contient la Vérité ! … mal vu …consommer un ennemi … coutumes anciennes … alternatives aux anciens rites …conseillées…Galactus nous ment…cache la vérité…il faut manger pour savoir…Manger les ennemis !! ”

* Une lime à la main, tenant un petit éclat de miroir, elle porta le premier coup, qui s’acheva dans un hurlement de douleur, les vapeurs hallucinogènes ne suffisant pas à endormir totalement chez elle les sensations… A plusieurs reprises, elle passa la râpe sur ses dents, arrachant l’émail, mordant dans la pulpe sensible, jusqu’à voir des crocs apparaître…*

“ ...Bon pour manger…Arracher la chair… Faire sortir son sang des oreilles … bon auto sacrifice…épines de rose importées… Pas d’épine…Végétal…la Fusion… Métal !! ”

* Attrapant une poignée de clous à tête filetée, elle perça le cartilage de ses oreilles avant de fixer les tiges de métal grâce à de petits écrous, écrasant la fine couche de peau, laissant couler le sang qui lui emplissait les conduits auditifs… Sans perdre un instant, sachant que si elle cessait une seule seconde, que si elle laissait la douleur la submerger ce serait fini de cette communion, le regard emplit de folie, elle répéta l’opération sur son arrête nasale à l’aide de vis, suffoquant dans son propre sang tandis que le métal perforait ses chairs…

Et dehors, un brasier consumait le dôme sous un ciel d’obsidienne tandis qu’une colonne carmine s’élevait vers les cieux dans une vibration rappelant les terrifiantes basses qui frappaient parfois la surface martienne...

Puis tout s’arrêta soudainement, le ciel se dégagea, les flammes disparurent…

Au cœur du Temple, gisant dans son sang, Aalia gisait inconsciente, un rictus déformant son visage...*

Messages : 764 Date d'inscription : 07/05/2009 Age : 54 Localisation : 77

Cela faisait un sacré bout de temps que je n'avais pas mis les pieds dans ce foutu temple.

Pas le temps pour toutes ces conneries. On mine, on raid, on commerce, on mine, on raid, on commerce...un coup d'oeil au classement universel, et c'est repartit pour un tour.

Et puis il y a peu, plus rien, plus de nouvelles des autres. Même la grande emmerdeuse ne donne plus signe de vie.

C'était pourtant bon de déconner un peu avec tout ces gars...et là, plus rien.

Hier j'avais la pêche (verte), il était temps de foutre un bon coup de pied au cul de l'inspecteur Derrick. On verra qui suivra.

Les derniers messages de la grande sauterelle m'ont un peu inquiété...elle nous prépare quoi Miss agrumes?

Elle est là, baignant dans son sang, rasé de près, la gueule tuméfiée, des clous plantés un peu partout... Une vraie tronche de prêtresse martienne.

Appel au 1er secours et je me casse. Me voilà rassuré, l'espace d'un moment j'ai cru qu'elle avait arrêter de boire son truc.

Les affaires reprennent.

Cela devait être des journées comme les autres, sans douleur imposée, sans fatigue, sans une lueur de colère ou de mystère. Des journées qu’on peut sourire, légèrement, sans en faire trop, pas de raison de se réjouir ou de se plaindre…. Et juste le calme plat, les circonstances l’éprouvent.

Elle voulait le calme plat, le vrai silence de la foule, celui qui ne vous écoute pas, qui ne remarque pas qu’elle lève son verre quatre fois plus que d’habitude.

Elle voulait le calme plat, celui d’affections partagées dans le silence des nuits obscures, juste planté dans ses bras à l’écouter respirer, et tomber dans un sommeil mort de rêve, épuisée, alcoolisée.
Le silence le plus absolu, le plus souple, alors que vous êtes devant, ne vous êtes vous jamais senti comme une décalcomanie ? Une simple image que l’on renvoie.

Dix minutes de calme plat pour une semaine de tempêtes, octobre, bientôt est mort, et elle ne part pas avec lui. Les visages tournent alors qu’elle reste plantée là, à coté de son chasseur.

Une semaine de cataplasme. Si elle avait pu l’articuler, elle l’aurait fait. Elle connaissait les oreilles attentives, savait pertinemment ou les trouver. Elle avait vu l’inquiétude passer dans les regards des plus attentifs… Et du plus inattendu aussi. Octobre était peut être aussi un sourire qui réchauffe le cœur.
Octobre…

Elle a le cœur, le carquois et les flèches
Le sourire qui n’est ni plus ni moins rêches ;
Que l’eau d’un soupir, et sa douceur érodes
Les rochers les plus solide même aux antipodes.

Elle est de ces terres que seul le désespoir féconde ;
Et sème l’enfer aux grés de ses humeurs vagabondes…

Octobre ….

Saleté.

Octobre avait compté ses festivités sur le bout des doigts, avait mis autant de surprises que de pièges à ses pieds, l’espoir souffle encore sur les plaines rouges de Mars, octobre meurt ce soir.

Octobre a assez donné de choses à perdre. Elle se sentait fantôme, se regardait de loin, et comptait sur le bout de sa main, nombre battement.

Elle montre oreille attentive, et pointe acerbe, parfois.
Elle avait vu avec effrois Zules contempler un crâne, parfois, la tentation de rester fort est difficile à assumer. Et le voir partir, là bas, dans les sombres méandres du temps nécrophage qui se voute, avait terminé de l’anesthésiée. Mais les mots justes ne passent ses dents.

Que devait-elle voir mourir encore ? En sursit, tel un mort qui danse, foutu fantôme…

Octobre…

Ni à son âme, ni à sa famille, ni à elle.
A contre coup, octobre aura sa peau. Ce qu’elle a, elle peut le perdre, octobre est un cortège joyeux de déceptions rieuses.

-« Va crever, avec tes saints, avec tes morts ! Va crever avec tes confettis, tes lanternes, tes citrouilles ! Va crever avec tes gargouilles ! Crève… crève…

Le silence nocturne en est tout retourné. Appuyée des deux mains contre son engin, elle déverse. Octobre est la saison des pluies, et un instant, elle se noie. Ça crisse les parois comme elle se rebiffe. Et quand son front bat la mesure de son cœur, qu’elle a pile au bord des lèvres, que son thorax pèse comme une enclume douloureuse, Aalia regrimpe à bord.

Comme octobre, quand toutes ses feuilles tombent, se part des belles couleurs de l’aurore. Elle se reprend.

Octobre n’avait pas fini de jouer. A la rendre hystérique, du rire aux larmes, enjôleur ou meurtrier, octobre était aussi une tombola qu’on gagne sans avoir joué. La sincérité pure et dure, la connerie la plus profonde, la surprise à en mourir de rire…
A jamais octobre, va.

Affalée, et courbatue, Pise dru à la main
Collée amoureusement près de la cheminée
Les jambes engourdies, les paupières fermées
Je déguste mon Beaujolais d’un léger tournemain

Remise sur pieds aussitôt, mon regard plus humain
Pour ne pas perdre du temps, la gorge titillée
Je me remets un canon, la face illuminée
Les yeux taquins, les joues un peu carmin

Mais à peine ai-je bu ce vin, qu’il transcende
Aussi subrepticement que cela peu suspendre
Son gout assassin, en plaisir salivant

Messages : 764 Date d'inscription : 07/05/2009 Age : 54 Localisation : 77

Et bien...si un verre de beaujolais arrive à te mettre dans cette état là, je n'ose même pas imaginer ce qui se passerait si on te lâchait dans la même pièce qu'une bouteille de Pomerol. Une partie de ma panoplie de RP Icon_eek

Poivrote...

Zulartien

Aujourd’hui, l’univers étoilé te raconte un conte illusoire
Afin que les rêves vivent au-delà de l’espoir
Donne à ton cœur, le choix de son arc en ciel
Afin qu’il nage dans le bleu du ciel

Laisse-moi te susurrer les mots doux de la rivière
Qui ne cessent de couler pour nous plaire
Tu as entre aperçu ma vie, tu as laissé ta trace
Et pourtant il ni a aucun face à face

Cotes à cotes, nous franchirons la ceinture d’Orion
Et de tous ceux qui pensent que c’est illusion
Nous donneront tord
A tous, nous voyant plongé dans une petite mort

Prêts, nous sommes, pour un ailleurs
Construit de douceur et du pur meilleur
Irons avec nous pour ce pèlerinage
Les amis sans âge.